Des outils adéquats et performants pour une gestion de l’information sanitaire au Burundi
Mettre en œuvre une série d’interventions visant la mise en place des outils, 11ème génération de la Classification Internationale des Maladies répondant aux standards et aux normes internationales, tel a été l’objectif fondamental des assises qui se sont tenues à Bujumbura du 13 au 21 Septembre 2021.
Le déploiement des outils de la Classification Internationale des Maladies a pour vocation de fournir aux acteurs de terrain et de gestion de l’information sanitaire, des outils visant le renforcement du système national de notification, d’enregistrement et de rapportage sur les décès et les causes de décès. Ceci inclut la mise en place d’un système de surveillance rapide de la mortalité dans des sites sentinelles sélectionnés.
Cette approche permettra de capter plus rapidement des données de meilleure qualité sur la mortalité, afin de faciliter leur utilisation pour identifier les caractéristiques des décès, d'informer les décideurs sur l'ampleur et la direction des épidémies et de suivre les tendances épidémiologiques à plus long terme. Le résultat final sera la conception d'interventions coût-efficacité, de réduction de la mortalité en générale, de la mortalité maternelle et infantile en particulier, et la réalisation des objectifs de développement durable.
En effet, les données de bonne qualité permettent par ailleurs d’apprécier le niveau de performance des formations sanitaires du pays, ainsi que le niveau d’atteinte des indicateurs de suivi des objectifs de développement durable. Elles permettent en outre d’évaluer le niveau d’atteinte des objectifs du plan national de développement sanitaire.
Au regard de l’importance des données de bonne qualité en tant que reflet des actions réalisées aux différents niveaux de la pyramide sanitaire, les participants à cet atelier de formation ont été invités à œuvrer davantage pour que les acquis de la formation éclairent les opérations quotidiennes de notification, d’enregistrement et de rapportage. Ce qui permettra aux données du Système National d’Informations Sanitaire de traduire au mieux les efforts fournis par l’ensemble des structures de santé, toute chose qui contribuera à une meilleure prise de décision.
Une initiative louable qu’a salué de vive voix Dr Yao Kouadio Théodore, intervenant au nom du Représentant de l’OMS, Dr Xavier CRESPIN.
« Je souhaite que ces outils encours de déploiement, puissent être utilisés de façon optimale pour éclairer l’action sanitaire au Burundi, avec notamment les choix stratégiques à opérer et la planification sanitaire dans son ensemble », a souligné Dr Yao. Il n’a pas manqué de rassurer les participants quant à l’entière disponibilité de l’OMS, en collaboration avec les autres partenaires techniques et financiers, à soutenir les stratégies visant l’amélioration de la qualité de l’information sanitaire.
Rappelons que ces assises ont été financièrement et techniquement soutenues par l’OMS et bénéficient de l’expertise des spécialistes du bureau régional de l’OMS pour l’Afrique.
Le déploiement des outils de la Classification Internationale des Maladies a pour vocation de fournir aux acteurs de terrain et de gestion de l’information sanitaire, des outils visant le renforcement du système national de notification, d’enregistrement et de rapportage sur les décès et les causes de décès. Ceci inclut la mise en place d’un système de surveillance rapide de la mortalité dans des sites sentinelles sélectionnés.
Cette approche permettra de capter plus rapidement des données de meilleure qualité sur la mortalité, afin de faciliter leur utilisation pour identifier les caractéristiques des décès, d'informer les décideurs sur l'ampleur et la direction des épidémies et de suivre les tendances épidémiologiques à plus long terme. Le résultat final sera la conception d'interventions coût-efficacité, de réduction de la mortalité en générale, de la mortalité maternelle et infantile en particulier, et la réalisation des objectifs de développement durable.
En effet, les données de bonne qualité permettent par ailleurs d’apprécier le niveau de performance des formations sanitaires du pays, ainsi que le niveau d’atteinte des indicateurs de suivi des objectifs de développement durable. Elles permettent en outre d’évaluer le niveau d’atteinte des objectifs du plan national de développement sanitaire.
Au regard de l’importance des données de bonne qualité en tant que reflet des actions réalisées aux différents niveaux de la pyramide sanitaire, les participants à cet atelier de formation ont été invités à œuvrer davantage pour que les acquis de la formation éclairent les opérations quotidiennes de notification, d’enregistrement et de rapportage. Ce qui permettra aux données du Système National d’Informations Sanitaire de traduire au mieux les efforts fournis par l’ensemble des structures de santé, toute chose qui contribuera à une meilleure prise de décision.
Une initiative louable qu’a salué de vive voix Dr Yao Kouadio Théodore, intervenant au nom du Représentant de l’OMS, Dr Xavier CRESPIN.
« Je souhaite que ces outils encours de déploiement, puissent être utilisés de façon optimale pour éclairer l’action sanitaire au Burundi, avec notamment les choix stratégiques à opérer et la planification sanitaire dans son ensemble », a souligné Dr Yao. Il n’a pas manqué de rassurer les participants quant à l’entière disponibilité de l’OMS, en collaboration avec les autres partenaires techniques et financiers, à soutenir les stratégies visant l’amélioration de la qualité de l’information sanitaire.
Rappelons que ces assises ont été financièrement et techniquement soutenues par l’OMS et bénéficient de l’expertise des spécialistes du bureau régional de l’OMS pour l’Afrique.