Burkina Faso News

Ouagadougou (le 21 nov 2016) - L’atelier sur le noma a pris fin le 11 novembre 2016 dans les locaux de l’ex-APOC, à Ouagadougou (Burkina Faso) par l’adoption d’une série de recommandations et en ouvrant des pistes de travail concrètes. Ainsi, les rapports techniques des activités menées entre juillet 2015 et octobre 2016 ont été présentés par le Bénin, le Burkina Faso,  la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.

Prévention et réduction de la contamination du sorgho par les mycotoxines

Comment prévenir et réduire, au Burkina Faso, la contamination du sorgho, une des céréales les plus consommées du pays, par les mycotoxines, ces contaminants naturels de nombreuses denrées d'origine végétale (présentes dans les céréales mais aussi les fruits, noix, amandes, pommes et les produits manufacturés issus de ces filières destinés à l'alimentation humaine) et qui ne sont pas sans danger sur la santé humaine voire animale?

(Ouagadougou, Burkina Faso, 12 Août 2014) - L ’OMS, en collaboration avec le ministère de la Santé du Burkina Faso a officiellement remis le 11 août 2014, à Ouagadougou, à Dr Théodore Kangoye, le Prix OMS pour la Journée mondiale sans tabac 2014, « pour sa contribution exceptionnelle à la lutte antitabac ». Dans son allocution, Dr Fatima Zampaligré, venue représenter Mme le Représentant de l’OMS a indiqué que ce prix est une reconnaissance non seulement de la contribution du lauréat mais aussi des efforts faits par le Burkina Faso dans la lutte contre le tabac.

Cette célébration conjointe des Journées Mondiales de la Santé et de la lutte contre le Paludisme trouve sa justification du fait du rapprochement des deux thèmes qui ont pour lien la lutte contre les vecteurs. Ces agents (mouches, moustiques tiques,...) sont les principaux agents de transmission des maladies comme, la filariose, la leishmaniose et le paludisme.

Face à l’épidémie à virus Ebola, la première arme reste la communication. Depuis la confirmation de la présence du virus, le plan de riposte proposé par les autorités sanitaires a accordé une place importante à la communication.

2è Réunion en 2013 du Groupe de Travail des Partenaires

Après Kinshasa en avril dernier, les membres du Groupe de Travail sur la vaccination (GTV) sont à Ouagadougou. A l’ordre du jour plusieurs questions stratégiques.

En ouvrant le travaux le Coordonnateur de l’équipe inter pays de l’OMS pour l’Afrique de l’Ouest (IST/WA) a rappelé les priorités. Dr. Walker a tenu avant toute chose à saluer la qualité du partenariat qui lie dans ce domaine l’UNICEF, GAVI et l’OMS et les autres partenaires comme AMP, MCHIP, SABIN...

Et de trois pour les rencontres transfrontalières entre le Bénin, le Burkina et le Niger. Natitingou au Nord Ouest du Bénin accueille une soixantaine d’experts des différents niveaux desdits pays pour évaluer le chemin parcouru et prendre ensemble les recommandations à même de gérer les risques d’épidémies et travailler ensemble à les solutionner.

Véritable globe trotter, Pavan peut se vanter d’avoir travaillé pour l’OMS a SEARO, la Région Asie, Euro, et AFRO (Bureau Régional, Harare et Brazzaville), entre 1986 et 2006.mais c’est au sein de l’équipe inter-pays pour l’Afrique de l’Ouest, à Ouagadougou qu’il achèvera sa carrière.

Plusieurs types de recommandations ont été  proposées et adoptées à l’issue de la rencontre annuelle des premiers responsables de la vaccination des pays de l’Ouest africain. Elles touchent l’ensemble des domaines relatifs à la vaccination. 

« Donner à la polio le coup de grâce »

C’est le village de Sabsin dans la commune rurale de Saponé qui a abrité le lancement des JNV. Pour cette phase de la campagne de lutte contre la poliomyélite, 07 pays de l’Afrique de l’Ouest en plus du Burkina ont été concernés. Il s’agit du Bénin, de la Côte-D’Ivoire, de la Guinée, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et de la Sierra Leone.