Burkina Faso News

Ouagadougou, le 09 juin 2017) – Au Burkina Faso, un enfant sur trois est trop petit par rapport à la taille qu’il devrait avoir à son âge. Ce retard de croissance peut être comblé grâce au lait maternel qui contribue, par ailleurs, à réduire de près de 10 fois les risques de survenue de la diarrhée chez l’enfant exclusivement allaité.

Ouagadougou, 10 novembre 2016 - Près de 140.000 personnes en Afrique souffrent chaque année de noma, une maladie nécrosante destructrice de la bouche et du visage ; elle touche principalement des enfants âgés de 2 à 6 ans qui vivent particulièrement dans des milieux où l’accès aux soins est difficile et où les croyances traditionnelles et la stigmatisation persiste. Si la maladie n’est pas traitée, elle tue 90% de ses victimes.

Le Burkina Faso a célébré, en différé, le 24 octobre 2015, la 13ème Journée africaine de la médecine traditionnelle (JAMT) sous le thème retenu, à savoir:« Réglementation des tradipraticiens de santé dans la Région africaine de l’OMS ». Parrainée par Sa Majesté le Mogho Naaba Baongo, la cérémonie a été présidée par le Ministre de la Santé. Elle a été rehaussée par la présence de Madame le Représentant de l’OMS au Burkina Faso ainsi que de Monsieur le Ministre de la   recherche scientifique et de l’innovation.

Ouagadougou 26 Juin 2014 - Disponibilité, efficacité dans l’action. Pierre Kaboré et Alhousséini Maiga ont eu tous les deux des parcours certes différents mais au bout du compte ils laissent derrière eux des collègues qui garderont en mémoire leur importante contribution à l’Organisation. Dr. Maiga c’est l’homme qui pendant 25 ans aura traqué la Dracunculose  ou Ver de Guinée dans la région africaine. Il y avait plus 1.000.000 de vers quand il intégrait le programme. Aujourd'hui il n’en reste plus que 25 dans 04 pays.

Santé, Agriculture, Action sociale, Eau et assainissement se donnent la main pour prévenir et lutter de matière plus harmonieuse contre la malnutrition chronique au Burkina. C’est ce qu’il faut comprendre à travers cette démarche heureuse qui consiste à réunir les acteurs des secteurs pré-cités pour combattre la situation que vit plus d’un million d’enfants burkinabè chaque année.