Survivre au VIH et redonner un sens à sa vie

Brazzaville - En sept mois, Irène Mahoungou était passée de 65 kg à 19 kg. Elle ne pouvait plus marcher seule, ni s’alimenter. « J’étais réellement à la porte de la mort. Quelques temps après, je suis rentrée dans un coma qui a duré cinq jours et dès que je me suis réveillée, j’ai demandé à être testée pour le VIH. C’était la seule piste qui avait été ignorée jusque-là. Elle s’est avérée être la bonne piste » se souvient Irène.

Surmonter les pénuries de sang

« Le sang ne peut pas être fabriqué. Il parvient aux gens qui en ont besoin uniquement grâce à des dons », affirme Dominique Linguedze, donneur volontaire à Brazzaville, capitale fluviale de la République du Congo.