Feature Stories

Réduire la mortalité maternelle

Since 2018, Maulete Joaquim has experienced two complication-free births at Songo Rural Hospital in Mozambique’s western Tete province; she gave birth to her youngest daughter here in 2023. “The hospital takes really good care of their patients,” she says. “Everything went well and all three of us are fine up to today.”

L'Algérie renforce la lutte contre les addictions et avance vers les objectifs de dé...

Alger – Brahim un élève de 14 ans, franchit les portes du centre de santé de proximité de Cherchell chaque semaine depuis un an pour participer à des séances de thérapie individuelle et d’orientation professionnelle. « Je suis venu chercher de l’aide pour ma dépendance au cannabis et au tabac », confie-t-il. « C’était très difficile au début, j’avais du mal à communiquer avec les autres. Mais semaine après semaine, le personnel du centre m'a donné confiance en moi.

Au Congo, les comités de santé mobilisés pour l’atteinte de la Couverture sanitaire ...

Brazzaville – « Avant, je n’allais pas au CSI [Centre de santé intégré] parce que le coût des soins était trop élevé et l’accueil laissait à désirer », raconte Christine, 58 ans, qui réside à Nzalangoye, dans le district de Ouesso dans le nord du Congo. 

En 2021, seulement 13,82 % de la population congolaise avait accès aux services de santé. Des obstacles tels que le manque d'information, les coûts élevés des prestations, l'insécurité et l'isolement géographique limitaient cet accès.

La Guinée Équatoriale inaugure sa première usine d'oxygène publique

Bata – Juan de Dios, infirmier à l'unité d'urgences de l'hôpital de Bata, une ville portuaire de la Guinée Équatoriale, se rappelle encore des appels au secours fréquents qui résonnaient dans les couloirs : “On manque d’oxygène ! ”. « C'était une véritable course contre la montre pour acheter et faire livrer l’oxygène à temps. À cause de son coût élevé, l’hôpital était contraint de facturer les familles, même celles à faibles revenus.

Kenya : Renforcement du personnel de santé

Il y a cinq ans, Esther Omagwa était l’une des deux seuls membres du personnel infirmier du centre de santé Railways dans le comté de Kisumu, à l’ouest du Kenya. L’immense charge de travail l’épuisait souvent, l’obligeant à refuser des patients.

Au Sénégal les Badiénou Gox relient les populations aux structures sanitaires

Dakar – Ndèye, 29 ans, mère de trois enfants et habitant à Guédiawaye dans la banlieue de Dakar, a toujours connu des grossesses difficiles. « J’ai accouché à la maison lors de mes deux premières grossesses, et pour mon dernier enfant, les débuts avaient été difficiles. J’avais tout le temps des vertiges et je me sentais très fatiguée, et pourtant je me disais que ça allait passer, que c’était normal », explique-t-elle.

Côte d’Ivoire : améliorer la qualité des soins pour réduire le taux de la mortalité...

Abidjan – Fatoumata, mère de deux enfants, n’a pas gardé un bon souvenir de son premier accouchement il y a trois ans. « Je suis arrivée seule à la maternité, très stressée, avec une tension artérielle élevée. J’avais très peur pour moi et pour mon bébé. » Elle n’était pas préparée pour l’accouchement et les conditions de prise en charge sur place n’étaient pas les meilleures. 

Burundi : renforcement du pilier laboratoire dans la riposte à la mpox

Bujumbura – Le laboratoire biomédical joue un rôle essentiel dans la riposte à toute épidémie. Au Burundi, c’est l’un des piliers de la riposte à l’épidémie de mpox en cours. A la déclaration de l’épidémie le 25 juillet, le pays faisait face à un manque de personnel assez qualifié pour assurer efficacement le pôle laboratoire. Le Burundi est le second pays le plus affecté dans la Région africaine par l’actuelle épidémie de mpox, avec 2003 cas confirmés à la date du 17 novembre.