Feature Stories

Madagascar : les plus vulnérables accèdent aux soins grâce à l'assurance de protecti...

Depuis avril 2016, un Comité pour la mise en œuvre de la CSU a été mis en place à Madagascar pour l’instauration d’un système de santé où tous les Malgaches sont couverts et ont accès aux soins. Depuis septembre 2020, le District de Sainte Marie bénéficie d’un projet de mise en œuvre de la CSU financé par la Principauté de Monaco et mis en œuvre par l’OMS, le ministère de la Santé Publique et l’ONG internationale GRET, qui soutient l’AFAFI. . L’affiliation des personnes vulnérables à travers la mutuelle de santé AFAFI a démarré au mois de septembre 2022, et l’adhésion pour les membres volontaires a commencé au mois de janvier 2023. A Sainte Marie, le projet a enregistré 3 700 familles soit 8 575 individus, membres de la mutuelle. Ce sont au total, 1125 familles soit 2788 individus affiliés vulnérables pris en charge par le projet, et 2575 familles soit 5787 individus affiliés volontaires qui ont souscrit à la mutuelle. Jacqueline et sa petite famille comptant 5 membres, font partie des affiliés vulnérables pris en charge par le projet de mise en œuvre de la CSU à Sainte Marie.

La vaccination pour en finir avec la rougeole au Gabon

Libreville – « Lorsque mon enfant avait 9 mois, j’avais choisi de ne pas le faire vacciner contre la rougeole. J’avais beaucoup de doute sur les vaccins à l’époque », relate Marie-Laure, 33 ans résidente à Libreville et mère de trois enfants. Jean, 3 ans, le petit dernier de Marie-Laure, avait reçu ses premiers vaccins jusqu’à l’âge de 4 mois et puis plus rien. « Nous étions en pleine période de la COVID-19. Il y avait des informations contradictoires sur les vaccins et je voulais être sûre de prendre la meilleure décision pour la santé de mon enfant. »

Vacciner les tout-petits au Sénégal, peu importe où ils se trouvent

Dakar – Jusqu’à l’âge de 7 mois, Ourèye n’avait jamais été vaccinée. Premier enfant de ses parents, elle vit avec sa famille dans le quartier Mbenguène, à l’ouest de Dakar. Maguette, sa mère, avoue n’avoir pas été sensibilisée à l’importance de la vaccination pour la vie de son enfant.  

Le Ghana intensifie ses efforts vers l’élimination du paludisme

Accra – Charity Damoah, 36 ans, ne compte plus le nombre de fois où elle a été admise à l’hôpital pour cause de paludisme à Sunyani, où elle a grandi, dans la région de Bono, au Ghana. Mais pour John, son fils de 2 ans, la situation n’est plus la même. 

Contrairement aux autres Ghanéens qui vivent au quotidien avec la menace de cette maladie, John n’a jamais souffert du paludisme. 

Subvenir aux besoins de santé des personnes rendues vulnérables par l’insécurité au ...

Assise dans la cour de sa maison, avec son nouveau-né dans les bras, Aissata*, déplacée par l’insécurité et vivant dans le centre-ville de Ménaka, se souvient du jour où elle est tombée malade alors qu’elle était enceinte. « Ce jour-là, j’avais mal au bas ventre, j’étais faible et je n’avais pas d’appétit. Le pire, je n’avais pas d’argent et mon mari était absent », se rappelle-t-elle.

Marguerite Mallo Bagaza, sage-femme

Marguerite Mallo Bagaza, affectueusement appelée Maman Maguy est l’unique sage-femme d’état dans le district sanitaire de Nana Grébizi, dans le centre-nord de la Centrafrique.

Blaise Mbainassem, infirmier

L’infirmier fait partie des 11 soignants de l’Unité de nutrition thérapeutique (UNT), qui ont été formés par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) à la prise en charge des enfants souffrant de malnutrition.

Renforcer les soins centrés sur la personne pour faire progresser le droit à la sant...

Freetown – Yainkain Sesay, 25 ans, attend son premier enfant. Avant sa première consultation prénatale à l'hôpital mère et enfant de King Harman à Freetown, la capitale de la Sierra Leone, elle était anxieuse. « Avant d’être enceinte, j’ai déjà été soignée dans cet hôpital. C'était difficile parce que je n'avais pas les moyens pour payer tous les traitements », dit-elle. Mais lorsqu'elle est revenue cette fois-ci, elle a été agréablement surprise. « Les services de santé sont satisfaisants et je me sens en sécurité. On ne me demande pas d'argent et on me soigne bien.

Burundi : des progrès pour réduire la mortalité due au choléra

« Un beau matin, j’ai commencé à avoir la diarrhée et des vomissements. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je ressentais une forte fatigue et des douleurs », raconte Geoffroy Havyarimana, sur son lit au Centre de traitement du choléra (CTC) de Bujumbura. Le trentenaire, originaire du quartier Kamenge dans la capitale Burundaise, avant de se rendre au CTC, comme il soupçonnait le choléra, il a commencé à boire beaucoup d’eau comme recommandé lors des séances de sensibilisation.