Feature Stories

Succès des contraceptifs auto-injectables

« Mon mari n’était pas d’accord pour la contraception », se rappelle Aïssa*. À 37 ans, elle a accouché de triplets quelques mois plus tôt, alors qu’elle a déjà la charge de quatre autres enfants dont la plus jeune est à peine âgée de deux ans. « Depuis que nous avons eu les triplets, les charges financières ont tellement augmenté que ça a été moins compliqué de le convaincre »

Aux Comores, tous les enfants nés de mère séropositive sont séronégatifs

Nadja* a appris sa séropositivité il y a deux ans, alors qu’elle préparait son mariage. Huit mois après les noces, la jeune dame tombe enceinte. « Je craignais pour le bébé. Il n’avait rien fait mais il risquait quand même, par ma faute, de naître séropositif. Cette idée me rendait de plus en plus inquiète », poursuit la trentenaire.

Lutter contre les maladies chroniques

Teresa Ramos de Carvalho a vu son long combat contre l’hypertension et le diabète prendre un tournant positif depuis qu’elle a commencé à consulter régulièrement et à recevoir gratuitement ses médicaments au centre de santé de sa localité à São Domingos, une région du centre de Cabo Verde.

Protéger chaque enfant contre le poliovirus

Dans le village éloigné de Bororo-Kambari au Nigéria, la petite Fati Isah, 5 ans, patiente dans la file avec ses deux frères et sœurs, ainsi que d’autres enfants de leur âge, pour être vaccinés contre la poliomyélite. « Ma mère dit que la vaccination est importante et que nous devrions être vaccinés », dit-elle fièrement.

Se rapprocher un peu plus de l’élimination du paludisme

Le fils d’Obolokamang Mahupe a commencé à présenter des symptômes de la grippe, qui se sont ensuite aggravés. Grâce aux leçons apprises de l’équipe d’intervention contre le paludisme dans son village de Kaxwi, dans le district d’Okavango, elle a pu reconnaître les symptômes et rechercher immédiatement une assistance médicale.

Enrayer la propagation d'Ebola chez les survivants masculins

En 2014, en seulement trois mois, Randall Varney a perdu neuf membres de sa famille, dont ses parents et ses sept frères et sœurs, à cause d’Ebola. Lui aussi a contracté le virus, il en est guéri. Après avoir appris qu’il pouvait encore transmettre le virus par voie sexuelle, 90 jours après sa sortie de l’hôpital, il a décidé de faire tout ce qui était en son pouvoir pour assurer la sécurité de sa femme.

Le Ghana à l’offensive pour rattraper les enfants non vaccinés

Á cause des perturbations liées à la pandémie de COVID-19, Beauty Setornyo craignait d’emmener son fils Dufe Dodzi de leur île de Dadato, dans la région de l’Oti (Ghana), au centre de santé sur le continent où il devait se faire vacciner contre les maladies infantiles courantes. Cette situation a rendu Dufe vulnérable à des maladies telles que la rougeole, la poliomyélite et la fièvre jaune.

La santé mentale, facteur déterminant face à Marburg en Tanzanie.

Washington Mushobozi, qui a été placé en isolement dans un centre de traitement de la maladie à virus Marburg, dit qu’il ne sait pas s’il aurait pu supporter de ne pas assister aux obsèques de sa mère sans la chaleur et la gentillesse des travailleurs sociaux qui l’ont aidé à se remettre de son chagrin.