Feature Stories

Réduire le risque d'Ebola par l'isolement volontaire

l'épicentre de l'épidémie d'Ebola, dans la ville de Beni au Nord-Kivu, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le ministère de la Santé de la République démocratique du Congo ont adopté une stratégie utilisée autrefois lors de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest pour simplifier le travail essentiel de surveillance des contacts des patients.

Apprendre la langue locale sauve des vies en République démocratique du Congo 

Passionné par son travail d'engagement auprès des communautés touchées par le virus Ebola, l'anthropologue guinéen David Niabalamou a appris à parler deux nouvelles langues en douze mois, ce qui lui a valu le surnom affectueux de ‘David le local’ de la part de ses collègues. Ayant travaillé sur la réponse à Ebola dans sa Guinée natale de 2014 à 2016, Niabalamou était parfaitement conscient que la langue est essentielle pour gagner la confiance des populations.

Cancer du col de l'utérus : une meilleure accessibilité améliore le dépistage à Mada...

Elle attendait avec impatience sa visite médicale à la clinique. Une minute à peine après avoir été examinée, Gisèle* a reçu le résultat de son test de dépistage du cancer du col de l'utérus. Jusqu'à 8000 femmes sont testées chaque année, principalement à travers un programme de dépistage communautaire à Madagascar, où le cancer du col de l'utérus est le type de cancer le plus mortel chez les femmes.

La logistique complexe de la riposte à Ebola

Comment livrez-vous près de trois tonnes de matériel chaque jour pour stopper le virus Ebola dans la région nord-est de la République démocratique du Congo (RDC) touchée par le conflit ? Pour l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), une équipe de soutien aux opérations et à la logistique composée de 40 personnes travaille presque sans arrêt pour expédier rapidement du matériel dans une zone quatre fois plus grande que le Rwanda voisin.

Vaccinations Ebola en République Démocratique du Congo - Dans la communauté, par la ...

La cour du Centre de Santé Musuniene, normalement calme, résonne avec les bruits des adolescents qui courent, jouent et discutent dans l'espace ouvert, sans être gênés par la chaleur intense. Les jeunes - tous les étudiants du Centre Professionnel Vusigha, une école technique locale - attendent leur tour pour être vaccinés contre le virus Ebola. Jean-Marie Kambale, leur enseignant, sort du centre de santé et affiche fièrement son certificat de vaccination. "Je suis très heureux parce que je suis maintenant protégé contre Ebola," dit-il. Kambale avait amené 50 de ses élèves pour les faire vacciner.