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Renforcer la réponse d'urgence contre le COVID-19 en Afrique

Dans le cadre d'un pool d'expertise élargi, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) aide plusieurs pays africains à coordonner le travail des équipes médicales d'urgence externes déployées pour soutenir les efforts visant à contenir la propagation de la pandémie de COVID-19.

« Faisons front commun contre ce mal », exhorte un survivant nigérian du COVID-19

De retour d’un voyage de 6 jours à Londres en mars 2020, Salihu Umar, 35 ans, a été testé positif au COVID-19. Bien qu’étant asymptomatique, il a été testé positif et a suivi un traitement. Après s'être remis et être retourné à sa famille dans la capitale nigériane Abuja, ce père de trois enfants souligne l'importance de se faire dépister, surtout après avoir voyagé dans une région touchée par le virus. 

Etendre les tests de COVID-19 dans le pays le plus peuplé d'Afrique

Que faut-il au pays le plus peuplé d'Afrique pour freiner la propagation du COVID-19 ? Lorsque le Nigéria a signalé son premier cas de virus le 27 février 2020, il ne comptait que cinq laboratoires dans quatre États capables de tester le COVID-19. Alors que l'infection se propage dans d'autres États, le Centre nigérian de contrôle des maladies (NCDC) augmente sa capacité de dépistage. Il y a maintenant 17 laboratoires et il est prévu d'en créer un dans chacun des 36 États. La généralisation des tests est au cœur de la lutte contre le COVID-19 au Nigeria.

Un an d’expérimentation du vaccin antipaludique en Afrique : un nouveau vaccin pourr...

Oblivious to the auspicious occasion, a bundle of children winced and gasped as they received their vaccinations. But in that moment, as they clung even tighter to their mothers, they became Kenya’s first children to receive the malaria vaccine through a historic pilot introduction programme initiated in Africa one year ago. Today, on this World Malaria Day, about 82 000[1] Kenyan children in pilot areas have received their first dose of the vaccine and are benefiting from the added protection against malaria.

Les chefs religieux se joignent au combat du COVID-19 en Afrique

Abidjan/Nairobi – « Vous ne pouvez prier que si vous êtes en vie », déclare Abdallah Cissé Djiguiba, l'un des grands imams de Côte d'Ivoire. Plusieurs pays africains ont interdit les rassemblements et verrouillé les villes et villages pour empêcher la propagation du COVID-19. Les lieux de culte étant fermés, les plateformes virtuelles ne se contentent pas de relier les églises et les mosquées à leur congrégation, mais offrent aussi un espace pour transmettre des messages de santé et de sécurité sur le virus.

Renforcer la réponse au COVID-19 au Sud-Soudan

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) travaille avec les autorités sanitaires du Sud-Soudan pour développer les capacités et les infrastructures de l'unité des maladies infectieuses à Juba afin de contribuer à améliorer la réponse d'urgence du pays au COVID-19.

Un imam montre la voie pour un culte sûr

Dans le contexte de l’urgence sanitaire posée par la pandémie du COVID-19 à travers le monde, le rôle des leaders religieux n’en est que plus accentué. En Afrique, ils sont des alliés incontournables dans les causes de santé publique et pour sauver des vies. Leur proximité avec les fidèles, les relations construites au fil du temps avec les familles et leur rôle central dans les œuvres de bienfaisance envers les plus démunis sont autant de facteurs qui leur font gagner la confiance de leur communauté.

Le Bénin passe à l'offensive numérique contre le COVID-19

Après l'annonce du premier cas de COVID-19 au Bénin le 16 mars, ce pays d'Afrique de l'Ouest a mis en place en quatre jours une série de plateformes numériques pour lutter à la fois contre la propagation de la maladie et contre ce que l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a appelé « l'infodémie » de la désinformation autour de celle-ci.