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Mahajanga - « L’épidémie de choléra de 1999, fut surprenante. La maladie tuait beaucoup de personnes au début de sa frappe. Puisque les facteurs de risque de propagation sont là à Madagascar, il n’est pas question d’attendre l’épidémie pour bien s’assurer que nous pouvons attaquer », déclare le Professeur Mamy RANDRIA, infectiologue, Chef de service des maladies infectieuses au Centre Hospitalier Universitaire Joseph Raseta Befelatanana (CHUJRB) à Antananarivo.

Abidjan - « Je voyageais avec des liasses de billets dans un sac, parcourant toute la Côte d'Ivoire pour payer les agents de vaccination », se rappelle le Dr Brou Gbotto Raymond, Directeur-coordinateur du Programme élargi de vaccination. Il se souvient encore des jours où, la peur au ventre, il devait se rendre à Abidjan pour récupérer des fonds.

Yaoundé- Le Bureau de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) au Cameroun a saisi le prétexte de la journée africaine de la médecine traditionnelle pour rappeler aux pratiquants leur importance dans l’accompagnement des politiques de santé. Parce qu’ils sont en contact avec les communautés à la base et souvent les premiers vers qui des malades se dirigent, l’OMS a voulu capitaliser leurs interactions avec les communautés.

Dans la région de Maradi, 265 personnes sur plus de 236 000 cas confirmés sont décédées du paludisme en début août 2024 d’après les statistiques sanitaires DHIS2. Parmi ces cas figurent 10 945 femmes enceintes dont 26 décès.

Kinshasa, (République démocratique du Congo), 09 septembre 2024. Les responsables des Programmes Élargis de Vaccination (PEV) des dix pays de l’Afrique centrale et le Groupe régional de travail sur la vaccination ont salué les progrès réalisés dans les interventions vaccinales des pays de la sous-région lors de leur réunion annuelle dans la capitale de la RDC. Cette réunion coïncide avec le 50ème anniversaire du PEV, lancé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), en 1974.

Niamey - A l’instar des pays du monde, le Niger a célébré la semaine mondiale de l’allaitement maternel. Avec un taux de fécondité de 6,2% selon l’enquête ENAFEME 2021, le pays fournit des efforts concernant la santé des enfants et en particulier leur alimentation.